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TFE 

 

La mixité sociale : une solution aux maux de la ville ?

 

Jonathan Levens

Promoteur : J-L. Genard

 

 

ABSTRACT

Etudier les parallèles entre la rupture spatiale et la fracture sociale

 

La ville offre idéalement une proximité sociale et spatiale qui doit permettre à l’homme de la ville de s’épanouir et de jouir de nombreuses facilités qu’elle seule peut offrir.   Mais les dernières décennies, le changement du mode de vie, de la vitesse, de l’émancipation, de l’immigration et de la mutation spatiale nous ont  fait nous poser des questions sur la manière d’intégrer toutes ces notions, toujours plus complexes et nombreuses sur un territoire qui requiert de s’intéresser à de nombreuses notions.

Ce sont des questions d’ordre social et spatial qui sont posées dans ce travail ; comment l’architecture favorise ou empêche-t-elle la mixité sociale, cette nouvelle politique des années 1990 mise en place pour approcher les nouvelles difficultés urbaines ? Quel est la place de l’architecte dans cet organisation à la fois micro et macro spatiale ?

Le travail, sur base de théorie, d’histoire et de deux exemples concrets et différents permet de s’apercevoir que l’architecture est un outil non négligeable qui peut favoriser ou empêcher, à différentes échelles, le rapprochement et l’intérêt social.  Quant à l’architecte, son rôle si important soit-il n’a pas forcément le pouvoir qu’il lui serait nécessaire de disposer face aux autres faiseurs de ville ; politiciens et promoteurs privés notamment.

 

 

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